François Weyergans, cet écrivain, belge par son père et français par sa mère, se considère volontiers comme un fakir de l'écriture. Intrigué très jeune par la magie et le pouvoir de l'écriture, c'est le cinéma cependant qui le passionne en premier lieu. Il parle ici de ses livres, de ses films, des liens et des limites propres à ces deux moyens d'expression, de la difficulté pour l'auteur d'assumer le "service après vente", et confie son secret espoir de faire un dernier film avant de mourir.