Compte Search Menu

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies permettant d’améliorer le contenu de notre site, la réalisation de statistiques de visites, le choix de vos préférences et/ou la gestion de votre compte utilisateur. En savoir plus

Accepter
Critique

WHOLE LOVE (THE)

publié le

« Qui aime bien, châtie bien », paraît-il. Il semblerait que cet adage sied parfaitement au huitième album studio des américains de Wilco. En effet, le groupe a toujours plusieurs longueurs d'avance sur la concurrence mais la bande à Jeff Tweedy veut […]

« Qui aime bien, châtie bien », paraît-il. Il semblerait que cet adage sied parfaitement au huitième album studio des américains de Wilco. En effet, le groupe a toujours plusieurs longueurs d'avance sur la concurrence mais la bande à Jeff Tweedy veut sans doute trop bien faire, ce qui rend le son général du disque un rien aseptisé. Après un départ en fanfare (avec cinq premiers morceaux irréprochables malgré un son trop calibré), quelques grumeaux indignes et dispensables viennent assombrir le tableau avant un sursaut de dernière minute sur le très beau « One Sunday Morning (Song For Jane Smiley's Boyfriend) ». Au-delà de ces critiques, il faut nuancer quelque peut le propos en constatant à quel point Wilco reste le groupe le plus représentatif de l'héritage des Basement Tapes de Dylan et The Band mais aussi de John Prine, Bill Fay et du trio Lennon/McCartney/Harrison (sorry Ringo) . Surtout il est bon de rappeler à quel point le guitariste Nels Cline est dans la même filiation que Tom Verlaine et Neil Young.

DM

 

 

 

Classé dans