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Critique

GALA MILL

publié le

CLASSIC 21 - MARS 2007 Émission de PIERRE GUYAUT TOUS LES VENDREDIS À PARTIR DE 20H50 PROGRAMMATION MARS 2007 Séquence du 02.03.07

Enregistré au fin fond de l’Australie dans une ferme isolée du monde, Gala Mill fait suite au percutant Wait long by the river and the bodies of your enemies will float by. Semblerait-il que les Drones s’apaisent sur ce troisième album. Grosse erreur : ils ont juste appris les nuances pour mieux nous faire mal.
Sans renier les influences post-punk des parrains que sont le gratteux Rowland S. Howard (These Immortal Souls, The Birthday Party), Suicide ou les Bad Brains, le groupe s’est ouvert de nombreux espaces d’écriture, entre le storytelling à la Dylan et le blues-bar torché de Tom Waits.
Bel objet sonique à vivre à plein volume, Gala Mill ne craint pas de faire des taches par excès de passion, mais il reste également touché par une grâce bien à lui. Une bonne tranche de rock savoureux.
Brigitte Lebleu

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