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Critique

DARLING ARITHMETIC

publié le par Daniel Schepmans

Les adjectifs n’arriveront pas au bout des qualités de ces chansons

Sommaire

Doux, épuré, foisonnant, luxuriant, fragile, abstrait, limpide, expérimental, mélodieux, les adjectifs n’arriveront pas au bout des qualités de ces chansons et de  cette voix. Ce qui frappe en effet d’abord c’est la voix de Conor O’Brien, on dit que chaque voix est unique mais la sienne, en plus de posséder une signature sonore d’emblée particulière a la capacité de capter les mélodies et de leur donner vie au sein de compositions toutes plus mémorables les unes que les autres.

En fait depuis son premier album (celui-ci le troisième) il s’est imposé comme un auteur compositeur sous le charme duquel on tombe et la splendeur de Darling arithmetic ne fait que confirmer cette addiction. Essayez donc Becoming a jackal (XV597C) et Awayland (XV597E) pour compléter la trilogiece sont trois disques hypersensibles, trois expérimentations émotionnelles d’une grande cohérence de voix et de regard. C’est comme la vie et sa mémoire intérieure, ça se suit comme une trace à construire.

Comme on dit : disque mémorable. (DS)

 


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