L’opéra romantique, forme dramatique s’il en est, aime faire mourir ses héros et ses héroïnes. Mais si les morts violentes dominent largement, les morts par maladie se comptent sur les doigts de la main.
Deux oeuvres majeures, La Traviata de Verdi et La Bohème de Puccini, mettent en scène la tuberculose pulmonaire, une maladie contagieuse en recul chez nous mais toujours vivace ailleurs.