C'est un film tout entier ancré dans la réalité d'une région, les Fourons. Andrien y développe son souci d'unir les hommes à leurs racines, de les lier à un cadre qui explicite leurs comportements. Le fils d'un syndicaliste agricole hésite entre la poursuite de la lutte et l'exil vers les cités urbaines.

Mention spéciale du jury du Festival international de Berlin (1981), Grand prix du Festival d'Aurillac (1982), Prix du meilleur film belge (Union de la critique cinématographique belge).

Note: il existe un documentaire consacré au problème des Fourons, également réalisé par Jean-Jacques Andrien, intitulé "Mémoires" (TH5822).