Troisième volet des collaborations entre le collectif Zeitkratzer et des électroniciens de renommées internationales. Après Terre Thaemlitz et Keiji Haino c’est au tour de Carsten Nicolai d’explorer les interactions entre électronique et instrumentation dite classique… Ils ont trouvé une sorte de deadzone entre ces deux univers et y ont puisé un nouveau vocabulaire qui loin d’être une révolution donne de la valeur à cette rencontre qui aurait pu mal tourner !!!
Une très bonne porte d’entrée vers les musiques soi-disant difficiles…