Compte Search Menu

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies permettant d’améliorer le contenu de notre site, la réalisation de statistiques de visites, le choix de vos préférences et/ou la gestion de votre compte utilisateur. En savoir plus

Accepter
Critique

POP CRIMES

publié le

-

 

Artiste guitariste australien, il a débuté sa carrière en 1978 au sein de The Boys Next Door avec Nick Cave, ils ont continué Birthday Party ensemble mais très vite les deux personnalités s’affrontent. Rowland S.Howard quitte le groupe pour former Crime and the City Solution, d’autres formations suivront mais resteront toujours dans l’ombre. Il travaillera également avec Lydia Lunch, Henry Rollins, Einsturzende Neubauten et une foultitude d’autres musiciens.

Guitaristiquement  parlant, il est reconnu pour être à l’origine d’un effet audio feedback, ses influences sont le blues sans contestation, mais un blues crasseux, obscur, malmené.

Il a invité Jonnine Standish du groupe Htrk à chanter avec lui sur « (I Know) A Girl Called Johnny » une belle ballade sulfureuse. Notons aussi la reprise de « Life’s What You Make It » de Talk Talk encore plus inquiétante que l’original. Et vient enfin « Pop Crimes » et c’est là que tout est dit! un riff de basse nous entraîne pendant une boucle de sept minutes avec la guitare qui geint à l’arrière plan. « Nothin’ » issu du répertoire du countryman Townes Van Zandt. Et puis de plage en plage on continue à explorer l’univers sombre que Rowland S. Howard nous aura laissé en héritage.

 

 

 

 

 

Classé dans